NOTES
L'information vient d'une note de François-Victor Hugo à sa traduction du Roi Jean (ouvrage cité, tome III Les Tyrans, p. 458) pour la réplique: « Philippe! pourquoi ce cri de moineau? »: « Ce mot Philippe passait, au temps de Shakespeare, pour être exactement le cri du moineau. [...] Un auteur dramatique, fort en vogue à la cour d'Elisabeth, l'euphuiste Lyly, a écrit ce vers dans la mère Bombie:
Phip phip the sparrowes as they fly.
Ils crient phip phip les moineaux quand ils volent.
Les anciens ont imité, dans un verbe pittoresque, le cri du passereau; et l'exclamation du Bâtard, qui semble d'abord si étrange, le paraîtra moins dès qu'on se rappellera ce joli vers de Catulle:
Sed circumsiliens modo huc, modo illuc,
Ad solam dominam usque pipilabat. »
[Mais il ne venait pépier qu'auprès de sa maîtresse, sautillant autour d'elle de droite et de gauche.]